Xavier Contamine Psychologue clinicien
à Valence

06 66 93 67 73

Présentation

Xavier Contamine, psychologue clinicien à Valence.

Ce site est une présentation générale de mon activité de psychologue en tant que thérapeute et que superviseur. Il propose quelques repères d'ordre général sur des questions concernant la demande de soin psychique.

Je suis psychologue depuis 1997. J'ai choisi la clinique comme orientation et spécialisation pour des raisons dont il m'est possible de dire ceci : 
- Contribuer à mettre au jour les enjeux inconscients de la psyché est une source de grande satisfaction. Ce n'est jamais simple, ni jamais sûr. C'est un travail parfois long qui fait grandir autant le patient que le psychologue.
- La formation permanente et la recherche clinique sont des nourritures essentielles, elles agissent comme un carburant et comme un aiguillon qui poussent à ne pas se satisfaire de l'acquis. Elles me semblent indispensables pour soutenir le désir et se sentir porté par un projet.
EN SAVOIR PLUS

L'accompagnement clinique

Clinique vient du latin clinare « être incliné » et du grec kliné « le lit du malade ». Il s’agit donc pour un clinicien d’être au plus près de celui ou celle qui souffre.
Il arrive parfois que nous nous sentions comme une lettre en souffrance c'est-à-dire perdus, en attente, en suspend.
Souffrir veut dire littéralement supporter.

En général, nous souffrons lorsque le mouvement psychique de traduction et d’appropriation subjective d’une certaine réalité tourne en boucle ou s’est arrêté. Nous souffrons lorsque le sens de ce qui nous arrive nous échappe, nous devons alors le supporter, comme si le temps s’était arrêté.

Derrière les angoisses, les inhibitions, les peurs et les insomnies se profile souvent l’ombre d’une lettre en souffrance, d’un temps en suspend. Si le sujet en a les moyens, il fera signe suffisamment pour que quelqu’un entende. Ce peut être n’importe qui, mais cela peut être un psychologue.

Le psychologue, je le vois comme un interlocuteur qui propose un temps et un espace potentiel où il est possible qu’advienne une parole, un message qui pourra être traduit et réfléchi, à deux. Le psychologue n’est pas sans savoir des choses, mais il ne peut que co-construire, co-élaborer cette traduction d’un sens oublié ou jamais advenu avec son patient.

Ce sera délicat car cette lettre n’a pas été perdue ou abandonnée pour rien. Ces raisons feront obstacles, nécessairement. Nous devrons les contenir et non vouloir les supprimer, ce qui de toute façon est impossible. Contenir veut dire accueillir et transformer avec le temps et l’analyse.

Le travail clinique est fait d’allers-retours : appréhensions, étonnements, résistances, prises de conscience, découragements, élucidations … . Entre le psychologue et son patient un rythme se crée à partir duquel un chemin se dessine …

Lorsque la souffrance trouve un sens en se liant au reste de l’histoire, le patient va mieux, son désir d’aimer et de travailler est relancé.
EN SAVOIR PLUS

La supervision

Parallèlement à une activité de thérapie en cabinet, je propose des interventions en institutions médico-sociales. Le travail de soignant ou d’éducateur est éprouvant, il est comme celui de psychologue, toujours incertain. Des phénomènes de répétitions, d’impasses, d’incompréhensions, de souffrances se présentent forcément à un moment ou à un autre, voire régulièrement dans ce genre de métiers. Les institutions elles-mêmes sont mises à rudes épreuves depuis une quinzaine d’années.

La supervision d’équipe existe en France depuis les années 60. Elle s’inspire des groupes Balint, du nom d’un médecin psychanalyste hongrois qui mit en place, dans les années 50, des groupes de réflexion entre médecins autour de cas difficiles. Il ne s’agissait pas de trouver une issue médicale, mais de parler du lien médecin-malade qui contribue largement, selon Balint, au soin apporté et à l’évolution de la maladie.

Cette approche groupale et réflexive du soin s’est largement diversifiée et peut concerner aujourd’hui tout professionnel en situation d’accompagnement.

Une équipe de travail a besoin d’un sens pour l’action, de repères stables, d’une cohérence et d’une élaboration permanente des situations de travail complexes. Les institutions aujourd’hui ont beaucoup de mal à garantir ces fondamentaux pour des raisons diverses. Il est demandé aux équipes d’être autonomes et à chacun d’exécuter sa tâche. Pris par des contraintes de gestion, les responsables délèguent de plus en plus le travail de pensée, de prise de recul et d’analyse à des intervenants extérieurs (psychanalystes, psychologues, psychosociologues). 

En 50 ans la supervision d'équipe a donc pris un sens différent dans un contexte global politique, économique, technocratique devenu pressant, voire oppressant, en tout cas anxiogène pour l’ensemble des acteurs institutionnels. 

C’est dans ce cadre que j’interviens auprès de nombreuses équipes dans des secteurs assez différents : l’insertion et l’hébergement social, les foyers de vie, la psychiatrie, l’addictologie, la médiation familiale, la prévention spécialisée, les lieux de socialisation parents-enfants, l’Aide Sociale à l’Enfance…
EN SAVOIR PLUS

L'accompagnement clinique

l'accompagnement à la parentalité.

Actualités

Publié

Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehen...

Cliquez ici
×

Actualité


Share by: